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DRUG AND THERAPY - DROGUE ET THÉRAPIE

 

Lundi, le 23 février 2015

10:33 heures

 

Bonjour mon Dieu de Paix !

 

Bon, ce matin, je veux remercier pour ma belle rencontre de 4 heures hier après-midi avec mon ami qui est venu à mon activité.

 

Je raconte ce qui suit pour mes lecteurs et non pour Toi qui connais déjà cela : Nous avons longuement discuté de nos découvertes et Projets. Et cet ami (Sylvain) que je connais depuis plusieurs années, Aimerait être le gardien du Centre Multidimensionnel. Donc il emménagerait là, et cela ferait en sorte que le Centre pourrait être ouvert beaucoup plus souvent que si nous devions toujours trouver des bénévoles Heureux de donner des blocs de 3, 4 ou 5 heures, pour augmenter les heures d’ouverture du Centre.

 

Nous utiliserons aussi cette formule avec les bénévoles, mais quand il y aura des trous dans l’horaire, avec aucune bénévole disponible, cet ami pourra souvent ouvrir le Centre car ce sera aussi son lieu de vie.

 

Un autre ami (André) est aussi passé pendant 5 minutes hier, et lui aussi, il aimerait emménager dans le Centre et partager le rôle de gardien du Centre. Alors il se peut que nous ayons éventuellement 2 gardiens, ce qui serait encore mieux, et cela ferait en sorte que quand l’un des deux serait absent, l’autre pourrait être présent !

 

Les choses sont en train de se placer doucement… c’est Merveilleux.

 

Ce matin, je voudrais te parler d’une problématique à laquelle je pense : Comment aider certains amis qui consomment de la drogue ? Je crains aussi que certains d’entre eux en consomment parfois en cachette en venant au Centre. Je me disais autrefois que je pourrais simplement les expulser du Centre, leur interdire l’accès, mais je ne pense plus que ce soit la meilleure idée.

 

Pourquoi ? Parce que j’imagine de plus en plus que le Centre sera un lieu d’entraide, de co-créativité, d’apprentissage, de découverte de soi et de Toi, de guérison psychologique et physique, d’innovation, donc… l’énergie sur place aidera bien des gens, y compris ceux qui sont dépendants des drogues.

 

Pour se libérer de la drogue, il faut trouver un sens plus profond à sa vie, des intérêts plus grands que les plaisirs ravageurs des drogues, et selon moi, le Centre pourra aider les gens à avancer sur cette Voie de Libération…

 

Alors qu’est-ce que je pourrais faire quand j’apprendrai que telle ou telle personne consomme parfois de la drogue en cachette dans le Centre, même si au départ, tout le monde saura que dans le Centre, c’est un lieu de Sobriété, de Végétarisme et de Tantrisme.

 

Je sais que les gens seront d’accord idéologiquement avec les valeurs du Centre, mais… qu’ils ne seront pas toujours capables de les respecter. Comme une personne qui est d’accord avec le principe de manger santé et de se mettre au régime pour maigrir ou manger végé, mais elle n’y arrive pas toujours. Et ici et là, elle mange de la malbouffe, elle mange trop et augmente son poids au lieu de le diminuer, et elle mange par moments de la viande même si au fond d’elle-même, elle voudrait être capable d’être végétarienne ou végétalienne.

 

Je sais que le Centre sera en lieu pour des gens en cheminement, et non pas pour des gens Parfaits ou des Anges du Ciel. Je dois donc avoir une attitude Compréhensive et Tolérante, mais… je voudrais pouvoir mieux aider quand même les gens avec diverses dépendances, et aussi savoir où seront les limites.

 

Avec quel degré de comportement contre les valeurs ou les règles de base du Centre, une personne sera expulsée et interdite d’entrée ?

 

Je sais aussi que les gens dépendants de l’alcool, la cigarette, la drogue, la viande, l’orgasme, vont contribuer à tenter les gens encore fragiles face au fait de ne plus consommer ces substances ou ne plus avoir ces pratiques de vie dévitalisantes, et je crains que les gens dépendants qui viendront au Centre, poussent certains êtres encore très fragiles à recommencer leurs anciennes consommations ou pratiques peu saines.

 

D’un autre côté, il est bon aussi qu’une personne puisse être mise face à des tentations, des offres, et apprenne à développer sa Volonté et sa Capacité à dire non.

 

Alors je sais aussi que les gens qui seront par moments des petits démons ou des tentateurs sur place, vont aussi servir à aider les autres à se développer, mais je ne veux quand même pas laisser la porte grande ouverte aux êtres vivant encore très peu en contact avec Toi et exprimant encore peu Tes Belles Énergies qui nous apaisent.

 

Donc, je repose ma question : Comment savoir quel est le point limite pour expulser une personne du Centre ou un collaborateur ou une collaboratrice ou un ou une bénévole ?

 

Je sais que je peux avertir une personne x fois, de faire attention à son comportement, d’exprimer le plus possible ses dépendances hors du Centre et non pas dans le Centre, mais en même temps, j’ai déjà conscience que bien des gens n’y arriveront pas à une certaine dose. Et les personnes ne pourront pas être surveillées en tout temps, car éventuellement le Centre comprendra de très nombreuses pièces 10, 12, 15, 20, 25… au fil du temps, nous aurons un Centre de plus en plus grand, et sera ouvert de très nombreuses heures, parfois il sera même ouvert 24 heures sur 24 !

 

Et x mois ou années plus tard, cela deviendra même une Éco-Communauté ou un Éco-Village de partage, avec le développement du Plus Grand Projet en ville ou à la compagne, donc là, il y aura plusieurs Pavillons entiers. Donc là aussi, on ne pourra pas avoir un gardien dans chaque pièce, 24h sur 24.

 

Avoir Gardien Divin dans chaque pièce, 24h sur 24, ce serait l’idéal bien sûr, mais je ne vois pas comment on pourrait obtenir cela, du moins à court terme. À long terme, avec bien des bénévoles… peut-être que nous arriverons à cette situation !

 

Et comme mon but est d’aider les gens qui ont toutes sortes de problèmes (qui s’expriment souvent quand ils sont isolés et que peu de gens les voient), les repousser ou les rejeter trop rapidement leur nuirait plus que cela les aiderait à mon avis. Mais d’un autre côté, tout accepter et ne pas mettre de limites leur nuirait aussi.

 

Alors où mettre les limites avec ces gens ?

 

Cela me fait penser à une mère qui Aime ses enfants et qui en a un qui est pris dans l’enfer de la drogue et qui en consomme en cachette dans sa chambre ou dans le sous-sol ou dans le garage de la maison ou au chalet à la campagne quand les autres membres de la famille sont absents. À quel point la mère va demander à son enfant de quitter la maison et de lui redonner les clefs du chalet s’il continue encore et encore ?

 

Quel est le degré de vie dans les problèmes qu’une mère peut supporter, accepter, tolérer, et un moment donné dire : « Non, là ça suffit, avec ce comportement, les limites ont vraiment été dépassées et tu ne peux plus rester dans la maison ! »

 

Je vais donner un autre exemple : une femme qui a un mari violent. Parce qu’elle l’Aime, parce qu’elle veut l’aider, parce qu’elle veut lui donner du temps… elle patiente, elle tolère, elle comprend, elle discute, elle encaisse, mais… vient un temps où la limite est dépassée, et avec trop de violence, elle doit : soit partir, soit demander à son mari de partir. Quelle est cette limite ?

 

En plus, il y a le fait que je connais le Miroir, et que je sais que les problématiques sont souvent des danses à deux ou en petit groupe. Souvent, une personne d’une famille ou d’un groupe est pointée du doigt, celle qui semble avoir le gros problème. Mais en creusant, on voit que la personne la plus proche ou les gens les plus proches de cette personne ont aussi un problème semblable mais plus caché ou complémentaire (ex : dominant-dominé).

 

Donc, je sais que les gens autour ont aussi des apprentissages à faire avec ce comportement qui semble déplacé pour une personne plus visible en particulier.

 

En étant consciente de cela, mes limites sont souvent plus loin que celles des autres, parce que je me dis qu’il y a bien des découvertes à faire pour toutes les personnes proches de la personne qui semble extérioriser le plus gros problème, mais qu’en fait, il est souvent partagé par les gens qui sont autour, à divers degrés, plus en subtilité.

 

Et ainsi, dans ma vie privée, quand je vois une personne avec un problème près de moi, je cherche en premier lieu les volets de Miroir avec moi, avant de simplement vouloir éloigner cette personne de ma vie. C’est parfois très exigeant comme attitude psychologique relationnelle, mais, cela m’apprend énormément sur moi et sur les aimantations, les attractions énergétiques, souvent inconscientes, dans nos relations.

 

Je me dis aussi que si un environnement devient par moments très Pur, très Divin, très Amoureux, cela va repousser naturellement bien des comportements plus malsains, plus déséquilibrés, plus dépendants et non-Divins.

 

Donc je me dis que si plusieurs personnes dans un lieu, un groupe, une entreprise, une famille… se spiritualisent de plus en plus, l’énergie d’Amour et de Sagesse qui va rayonner toujours plus fortement va aider les gens les plus faibles dans le lieu, ceux qui expriment encore peu d’Amour et de Sagesse.

 

Donc, je reviens pour la 3ème fois à ma question : Où mettre les limites au niveau de l’expulsion ou de l’interdiction d’entrée d’une personne dans le Centre qui a des problèmes ?

 

Une partie de moi aurait envie de ne mettre aucune limite. Je veux dire, face à ce qui aurait été fait en cachette. Car bien sûr, si une personne est vue directement à faire telle chose malsaine… nous pourrions lui demander de sortir immédiatement du Centre et de revenir juste quand elle serait dans un état sain. Mais si une personne est saine, et nous dit ou une autre personne l’ayant vue nous dit, qu’il y a eu tel comportement non sain il y a x jours ou heures, en cachette, quelle réaction avoir face à cela qui est déjà du passé ?

 

Bien sûr, une discussion avec la personne concernée, pour connaître ses intentions pour l’avenir et les moyens actuels qu’elle prend pour s’aider, pour cheminer… serait appropriée. Mais, je sais qu’au-delà de toutes les bonnes intentions qu’une personne peut avoir, et au-delà  de toutes les promesses qu’elle pourrait avoir envie de faire, sa parole sera souvent comme celle d’un être alcoolique ou violent.

 

La personne dit : je ne boirai plus ou je ne frapperai plus. Mais… x heures ou jour plus tard, sous le coup de l’émotion, ça recommence ! Et ce cycle se joue et rejoue pendant des années bien souvent.

 

Alors, que pourrons nous faire avec ces gens qui viendront au Centre ou qui collaboreront ou travailleront dans le Centre et qui auront ces types de problématiques ?

 

Au départ, il sera très important qu’une ou plusieurs personnes prient pour ces êtres ayant des problématiques plus grandes et plus perturbantes pour tout le groupe.

 

Le fait de demander Mon Aide pour ces personnes, sera déjà un bon départ.

 

Ensuite, aider ces gens devenir conscients que Mon Aide est La Plus Grande Aide qui soit, donc les aider à se reconnecter à Moi ou s’Unir de plus en plus souvent à Moi.

 

Aussi, visualiser tous les jours le meilleur que pourraient faire ou exprimer ces individus, les aidera énergétiquement.

 

Et… voir les Miroirs, que chaque personne qui connaît cette personne travaille sur les facette d’elle-même qui sont semblables, mais peut-être plus petites ou plus cachées, cela aidera aussi.

 

C’est un peu la technique Oponoponoo, de se souvenir que tout ce qui est perçu à l’extérieur de soi est aussi en soi à un certain degré et que la Vraie Guérison doit commencer par soi et par un Pardon à soi, un Amour de soi, et ensuite, un Pardon à l’autre et un Amour de l’autre.

 

Cela veut donc dire aussi : proposer à toutes les personnes impliquées un travail sur l’Amour de soi et le Pardon de soi, avant tout le reste.

 

Puis, proposer des discussions thérapeutiques, afin que les gens puissent parler de leurs plus grandes difficultés, de leurs plus grands stress, de leurs plus grandes peurs, de leurs plus grands manques, car c’est tout cela qui pousse une personne à consommer, à développer des dépendances, à M’oublier.

 

Un parcours de thérapie pourrait grandement les aider. Dans certains cas, ce pourrait être une condition pour les accepter de nouveau dans le Centre ou dans le groupe.

 

Oui, c’est vrai, je pourrais mettre en place un processus de thérapie… et voir ce que cela donnerait pour eux et pour les gens autour de cette thérapie, à cause du Miroir !

 

Toutefois, je me pose aussi cette question : si la personne ne fait pas sa thérapie ou la fait rarement, quoi faire avec cette personne qui refuse le parcours thérapeutique ?

 

Il serait bon de proposer diverses formes de thérapie : en personne, au téléphone ou par l’écriture d’un Journal de thérapie. En solo, à deux, en groupe. Selon une approche plus spirituelle, plus mentale, plus émotionnelle ou plus physique. Avec l’utilisation ou non des de la méditation, des arts, des animaux, des actions bénévoles…

 

En résidence, avec supervision en tout temps, ou en externe, en venant seulement aux rencontres thérapeutiques et en retournant chez soi ensuite.

 

Si diverses formes de thérapie sont proposées à la personne, il se peut fort bien qu’elle en vienne à accepter une forme ou une autre qui résonnera mieux avec elle.

 

Oui c’est bien vrai.

 

Mais si elle les refuse toute ?

 

À ce moment, il pourrait être bon d’avoir un Cercle de décision, d’amener la situation de cette personne dans le Cercle, d’inviter aussi la personne concernée à venir écouter les discussions à son sujet si elle le veut, et de décider en groupe ce qui serait le mieux. Ainsi, ce ne serait pas l’avis d’une seule personne mais celui de tout un groupe qui déciderait si la personne peut rester ou non, et avec telle ou telle condition, ou inconditionnellement.

 

Oui, j’Aime bien cette idée aussi, ainsi cela m’éviterait d’avoir le poids sur mes épaules à moi toute seule, de la décision d’accepter encore ou non, telle ou telle personne avec tel ou tel comportement difficile à accepter, à supporter, à côtoyer.

 

O.K. Je Te remercie pour Tes propos d’aujourd’hui avec moi, je Te remercie aussi de m’avoir écoutée, et je vais dès cette semaine former un Cercle de décision au sujet d’une personne amie que je veux déjà aider, et pour laquelle je me demande quelle place je peux lui offrir dans les Projets, puisque je sais déjà qu’elle a tel ou tel problème…

 

Il est 11 :18 heures, je m’arrête ici pour aujourd’hui, car il sera déjà midi quand j’aurai relu ce texte, l’aurai corrigeai et mis sur mon site web.

 

À demain mon Ami Divin Précieux !

 

 

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